Animations
samedi 17 juin | 14h45 - Espace Litté Bala

Rencontre – Dédicace

Après s’être laissé bercé par les lectures, venez échanger avec l’auteure Amina Richard et faire dédicacer votre livre.

Animations
samedi 17 juin | 16h00 - Espace La Fabrique du Vivre Ensemble

DEZOBEYI

Par ce jeu, venez découvrir les luttes et les victoires d’hommes et de femmes qui se battent pour plus de justice. Du Nord au Sud, la désobéissance civile a toujours été un levier de changement social.

 

Venez apprendre, partager et jouer avec les associations du collectif de La Fabrique du Vivre Ensemble.

 

Un jeu créé par l’association Quinoa.

Causeries
samedi 17 juin | 16h00 - Espace Arbre à palabres

La politique africaine de la France et sa présence militaire

Décryptage avec Raphael Granvaud, membre de l’association Survie, auteur des livres “Que fait l’armée française en Afrique?” et “Areva en Afrique” aux éditions Agone.

Jeune public & arts de la rue
samedi 17 juin | 16h30 - Espace Litté Bala

Atelier de peinture, dessin, collage

L’atelier commence avec une lecture d’un album jeunesse. La lecture est suivie par un atelier de collage, peinture et coloriage à partir des agrandissements des illustrations de l’album : collage de tissus, coloriage au crayon, peinture avec les encres ou les gouaches.

 

Durant cet atelier, les participants pourront se familiariser avec différentes techniques de création, de peinture, de collage, de dessin… Les dessins des participants sont affichées au fur et à mesure de leur réalisation.

 

Dès 5 ans.

Places limitées, inscriptions au Point Infos.

Conférence
samedi 17 juin | 17h00 - Auditorium de la Cité des Arts, Jardin du Verney

Relations Burkina Faso – France, quels constats et quels avenirs ?

Le Burkina Faso, voisin du Mali et du Niger, qui partagent ensemble la zone dite des Trois frontières, traverse une crise sécuritaire et humanitaire du fait de la présence de groupes djihadistes, ayant causé le déplacement de plus de 2 millions de personnes. A cela s’ajoute une crise politique : Roch Marc Christian Kaboré, réélu en décembre 2020, est destitué par un coup d’Etat militaire le 24 janvier 2022. Environ 8 mois plus tard, un nouveau putsch porte au voir le capitaine Ibrahim Traoré. 

Cet événement s’accompagne de manifestations dans lesquelles la présence de drapeaux russes et slogans demandant la fin de la présence militaire française est remarquée, ainsi que de l’attaque de l’ambassade de France à Ouagadougou. En janvier 2023, le tout jeune état burkinabè demande le retrait des forces françaises présentes dans le pays sous un mois. En parallèle, les autorités décident de suspendre les médias internationaux RFI et France 24 notamment.

Quel regard porter sur l’évolution des relations franco-burkinabè comparativement aux autres pays de la zone sahélienne ? De quoi se nourrit le ressentiment de défiance envers la France dans cette région ? Quels scénarii à venir et solutions peuvent être envisagés ?

 

Participants :

Salimata Nébié Conombo, ex-ministre du Genre, de la famille et de l’action humanitaire du Burkina Faso, et Haut-Représentante au Sahel, du mécanisme international de prévention des crises.

Marc-Antoine Pérouse de Montclos, politologue, directeur de recherche de l’IRD et auteur de plusieurs ouvrages sur le Sahel.

Modérateur : David Eloy, Directeur de l’Ecole des métiers de l’information.

 

Places limitées.

Animations
samedi 17 juin | 18h00 - Le coin du village

Atelier bande-dessinée-reportage

El Marto, artiste franco-burkinabè, a suivi pendant plusieurs jours une équipe de Médecins Sans Frontières (MSF) dans les camps de déplacés internes dans la région de Kaya. Il a  réalisé une BD-reportage et vous proposera un atelier autour de cette technique.

 

Munissez-vous de vos crayons et carnets à dessins.

Concerts
samedi 17 juin | 19h15 - La scène

Teriya

– Traditionnel mandingue – 

 

Dans la langue mandingue dioula, Teriya signifie l’amitié. Il s’agit du premier lien entre les sept musiciens et interprètes du groupe.

 

Originaires du Burkina Faso, ces artistes proviennent tous de famille de griots. Préserver les coutumes et les faire rayonner sur le territoire est leur fonction. Historiquement, le griot est considéré comme un communicateur traditionnel qui utilise la musique pour véhiculer des messages, célébrer des évènements et annoncer des nouvelles. C’est avec cet héritage que les membres du groupe, dès leur enfance, ont appris la musique. Ils se connaissent depuis de nombreuses années et possèdent les mêmes valeurs du partage, ainsi que ce désir de répandre et de maintenir la culture provenant de leurs ancêtres.

 

Leur volonté commune est de plonger dans le répertoire de l’ethnie Dafi, mais également dans celui des autres ethnies présentes au Burkina Faso, ainsi que plus largement, dans les pays d’Afrique de l’Ouest. L’originalité de Teriya réside dans leur désir de mêler des rythmes purement traditionnels à des sonorités modernes, incluant ainsi aux percussions des instruments mélodiques tels que la kora, le balafon et le ngoni.

 

Animations
samedi 17 juin | 19h30 - Espace Litté Bala

Rencontre – dédicace

Venez rencontrer et échanger avec Marc-Antoine Pérouse de Montclos à l’issue de la conférence grand public. Si vous souhaitez en savoir plus sur ses sujets de recherches, il sera présent pour dédicacer ses ouvrages.

Concerts
samedi 17 juin | 20h30 - La scène

Kady Diarra

-Tradi moderne mandingue – 

 

La grande Kady Diarra revient en famille pour brûler les planches avec un 3ème album incandescent ! Dans un esprit de célébration partagée, elle nous offre un condensé d’humanité(s) qui plonge ses racines dans le cœur de l’Ouest africain, entre cultures plurielles et humanisme mondialisé.

 

Des concerts de transe douce où se tressent les engagements de cette femme aux mille visages et son sens incomparable de la fête !

Au-delà des cinq langues de cet album : le message universel portée par une voix et une personnalité hors du commun…Et des musiciens soudés à ses énergies !

 

Un pays dont le nom porte le combat politique et moral de Thomas Sankara, qui appelait autant à la solidarité panafricaine qu’à l’union entre les peuples opprimés du monde entier. L’ouverture culturelle et l’unité humaniste sont fondamentales dans l’esprit burkinabé tel que l’exprime Kady Diarra en cinq langues différentes, de son bwaba originel au français d’accueil, en passant par le bambara majoritaire dans cette zone, le moré de la capitale Ouagadougou et le dioulaba de Bobo Dioulasso.

 

Concerts
samedi 17 juin | 22h30 - La scène

Baba Commandant & The Mandingo Band

– Transe Afrobeat Mandingue – 

 

Baba Commandant & The Mandingo Band est un groupe du Burkina Faso. Venant de Bobo-Dioulasso, le groupe est ancré dans les traditions musicales mandingues héritées des ancêtres. Le chanteur énigmatique Baba Commandant (Mamadou Sanou) est un personnage original et excentrique qui est très respecté dans la communauté musicale burkinabè.

 

Le style musical de Baba Commandant and The Mandingo Band est basé sur l’afrobeat, il s’inspire de l’âge d’or de la musique nigériane, Fela Kuti / Afrique 70, King Sunny Adé et le légendaire growler malien Moussa Doumbia.

 

On retrouve également toutes les influences de la culture mandingue par l’instrument de Baba Commandant, le Donso n’goni (instrument des chasseurs Donso de la région de Bobo Dioulasso) ainsi que les textes des chansons  en Djula. Chaque concert est une démonstration spectaculaire basée sur la rythmique afrobeat, la musique et la danse non stop.